Cours du 1er février 2005

 

ECHAUFFEMENT PRACTICE (comme d'habitude)

- Echauffement d'abord physique (élongation, assouplissements)
- Mise en place du rythme par des petits gestes symétriques, sans trop d'accélération au début.
- Prise de confiance dans l'impact au sol. Verticalité de l'impact.
- Accélération progressive pour "trouver" le plein swing
- Recherche de la bonne distance par rapport à la balle

DIFFERENCES DE SENSATION ET DE CONTROLE ENTRE LES LONGS FERS (angle fermé) ET LES FERS COURTS (angle ouvert)

Le problème réside dans les "raisons" pour lesquelles la balle décolle. En effet, autant sur les clubs courts (sw, pw, 9 et 8) c'est l'angle qui fait décoller la balle, même avec une attaque de balle imparfaite, autant sur les longs fers (6, 5, 4, 3 et bois), c'est la vitesse à laquelle la tête du club traverse la zone de frappe qui importe. Nous laissons volontairement de côté le fer 7, qui peut, comme nous l'avons précisé, être considéré indifféremment (selon le type de joueur) comme un long coup ou comme un coup d'approche. Il va donc falloir coordonner parfaitement le balancier pour que la posture de frappe ne vienne pas contrarier le retour du club vers la balle. Il nous faut donc revoir quelques principes fondamentaux qui vont quoi qu'il arrive dans la direction que nous nous sommes fixée : la posture de frappe est la même que la posture de démarrage !

 
TRAVAIL DE LA SIMILITUDE ENTRE LE PLAN DE MONTEE ET LE PLAN DE DESCENTE :
- On continue à contrôler que le plan de l'élan est en rapport avec la posture du club à l'impact. Le club se retrouve en haut de l'élan dans le prolongement de sa posture de départ. C'est cette position du manche qui va faciliter le retour du club vers la position de frappe.
- Il est nécessaire de contrôler les mains pendant la zone de frappe. Cela passe par la sensation de (pour l'instant) s'arrêter dans la zone de frappe, après avoir frappé la balle. Cela va donner la sensation de ne pas avoir besoin de tourner le corps vers l'objectif trop tôt. Cela permet également de fermer ou ouvrir les mains pour changer la trajectoire de la balle.
- Le final doit devenir une conséquence du balancier. Plus la vitesse de balancier est grande, plus le final est important. Le fait est que lorsque l'on "s'arrête" dans la zone de frappe, plus on se retrouve sans le vouloir très près de la position finale.

 

ORGANISATION DE LA DESCENTE :
On retarde au maximum le "décassement" des poignets. Il faut en effet garder le plus possible de réserve d'énergie pour l'impact.
- On commence par descendre les mains sur le même chemin que dans la montée, sans déplier trop vite le bras droit.
- On déplie à mi-descente le bras droit pour augmenter la vitesse du club
- Tout le secret de la longueur réside dans le moment où intervient "l'index droit". C'est en effet la dernière partie du corps en contact avec le club avant l'impact. Trop tôt, on gratte ou on lève la balle trop haut. Trop tard, on toppe ou on part à droite.

 

 

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